Extrait d'une petite conversation par mail entre amis cet après midi...
Thomas écrit :
Mike n'est pas d'accord avec moi quand je lui explique ceci :
Franchement y'a rien de compliqué, si tu pars sur une base logique et exponentielle comme quoi le début de la saison est en avril environ, on est sur que l'autre côté du bout n'aura aucun souci à se faire pour lui qui joue forcément un peu de guitare pendant qu'il nettoie sa batterie. Enfin je dis ça mais je n'en pense pas moins puisque les bâtiments sont forcément isolés par de bons matériaux qui ne craignent pas les intempéries locales voire mondiale. Mais on devrait s'en rendre compte rapidement si on ne veut pas que les saisons soient écoulées car mine de rien c'est pas comme une mine de crayon et la fête batterait son plein si on leur envoyait un vélo à chacun pour les aider dans leur démarche psychomotrice de départ à la retrait avant les 40 ans de cotisation dûes à l'état, non ? Car y'a pas si longtemps un gars qui travaillait dans une entreprise dont il était salarié et donc rémunéré mais pas payé a du accorder sa guitare à la va vite un bon matin alors que le sandwich qu'il avait mangé la veille était tombé dans un baril de pétrole. Et quand on voit le prix du baril aujourd'hui, et bien c'est vraiment du foutage de gueule. Sans déconner. Sinon on pourrait croire que l'invraisemblable combinaison que la lumière des vieilles voitures génère avec une branche de marrionnier est totalement désillusoire, mais n'en soit si pas si sur ! Ils sont complètement d'accords entre eux et n'arrivent pas à s'entendre sur le fait que c'est vraiment une honte de jubiler de la sorte sur le sort d'un ressort de ce vieux matelas sur lequel il s'est jeté depuis la scène... ridicule quoi. Mais bon on va pas refaire le monde. J'ai juste besoin de votre avis, car ça me fout hors de moi ! Merci.
Mike écrit :
Non !
Car la plupart des annonces faites au sujet de la prise de risque effectuée par les interlocuteurs sus nommé, ne mette en valeur, concrètement, qu’une infime partie de nos sentiments interne et externe et mauve et pourpre et jaune et vice et versa. Relativisons ! la vie n’est pas faite pour être vécu mais mordu par ce que l’on appel communément une attache de bout de ficelle, sans quoi la barre de fer ne pourra être que volubile au sujet des prescriptions et inscriptions formulées au cours du sommet du G8 à Pouilly en Auxois en Bourgogne.
La Plume écrit :
Non mais ça va pas ?
je suis aisément interloquée par toutes ces conformisations équilatérales et puériles ! Laissez tranquille Obama le cake en persillade, si il espère gratter de la corde pendant ses pauses bonbons, c'est absolument de son propre chef qu'on le doit. Attention également en abrégeant la Bourgogne de la sorte, il s'agit bien de Bourguinoises exaltantes et laborieuses de type vache limousaines que vous mentionnez de la sorte et vous m'en voyez forte à propos.
Et je finirai par intempérer de la sorte : ces voluptés insouciantes sont dénigrées de toute perpendicularité !!
Nan mais, ca va à la fin pisse à chiotte
Emma écrit :
Et bien moi je ne suis pas d’accord !!
Je pense que dans la conjoncture actuelle, la lumière faite sur ce sujet si complexe et si hétérogène qu’est la révolution des consommateurs face à cette crise, oui la crise… crise connue et démentie par les protagonistes des finances… ils balivernent, ils paraphrasent dans le sens où ceci n’a pas été résolu en amont par l’Etat ! Certes l’Etat est bel et bien impliqué mais est-ce que le positionnement respectif des astres est pris en compte ??? Là est la question ? et je pense que tous les acteurs de cette conjoncture ne se questionnent pas assez sur le sujet… heureusement d’ailleurs, que nous sommes là pour en parler…
Donner du sens aux nomenclatures et agrémentations laissées pour compte dans des tiroirs caisse mal desservis… Moi je dis : STOP ! HALTE à tout ceci !!!
Et quant aux bouts de ficelle sus cités par Mike, arrêtons de tirer sur la corde, Merci !
La Plume écrit :
(mssg parallèle pour emma : je retrouve bien là nos conversations balivernantes et constructives que nous avons frequemment ! que d'interessance fourrée de fioritudes à dicerner...)
Emma écrit :
Et justement nous dicernons sans fioritudes et c’est là, je pense, la solution !
Tom conclut :
à condition d'analyser que l'absolu ne doit pas être anihilé et destitué.
1 commentaire:
ah euh je crois qu'on a craqué là
Enregistrer un commentaire