D'après Eugène Enriquez (Eugène ENRIQUEZ, Les jeux du pouvoir et du désir dans l'entreprise, Paris, Desclée de Brouwer, 1997), les organisations et structures modernes tentent de diriger la vie de leurs collaborateurs, de provoquer leur adhésion, en devenant des structures de pouvoir. Mon identité s'est jouée et j'ai craint de la voir se fondre avec celle de l'entreprise. La question de la maltraitance professionnelle [...] n’est pas anodine non plus dans cette prise de conscience. Je ne ressens plus l'excitation ou la fierté d'appartenir à une puissance, le pouvoir est devenu envahissant et finalement ne profite pas à chaque être humain qui la compose.
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